Les Perce-Oreilles



 
Recueil de 8 nouvelles, Les Perce-Oreilles est sorti en février 2006 aux éditions de l'iroli. 

Cliquez sur la couverture...


QUAND "BREVES" CRITIQUE LES PERCE-OREILLES

Dans le N°78 de la revue Brèves, vous trouverez la sympathique critique que voici :
"Les Perce-Oreilles, d'Eric Gilberh que Brèves a publié dans le n°75, est un recuei
l tout en paroles, en onomatopées... la bande son colle à l'action. Les personnages, des adolescents face à la cruauté du monde, sont dans un présent qui ne nous laisse pas trop le temps de souffler mais tout à faitcelui d'apprécier l'humour... Des situations assez déjantées, des intrigues à rebondissements incertains, des chutes qui laissent la porte ouverte au temps qui saura bien régler l'addition. 27 ans, originaire de Dordogne, passionné de cinéma, Eric Gilberh a sûrement un avenir dans la nouvelle."


LES PETITES CRUAUTE DE L'ENFANCE


Voilà un article, publié à l'occasion du salon du livre de Chaumon-en-Vexin le 2 avril 2006 :
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Les petites cruautés de l’enfance par Eric Gilberh

En l’absence d’auteurs de renom et de têtes d’affiche, la dixième édition du Salon du Livre de Chaumont-en-Vexin donnera l’occasion de découvrir de nouveaux écrivains. Parmi ceux-ci, les visiteurs ne devront pas manquer Eric Gilberh. Ce jeune homme talentueux a publié en début d’année aux éditions L’Iroli (éditeur Beauvaisien), son premier recueil de nouvelles baptisé « Les Perce-Oreilles ». Dans cet ouvrage de 140 pages, l’auteur propose huit nouvelles qui plongent le lecteur dans un univers coincé entre l’enfance et la vie adulte, où les adolescents en scène se débattent avec des situations cruelles, tendues, qu’ils peinent souvent à maîtriser. Souvent durs, parfois terribles, les récits d’Eric Gilberh permettent à chacun de se mettre à la place des personnages et de retrouver les émotions acides de jeunesse que chacun a pu connaître. Des émotions violentes qui forgent les adultes épanouis ou angoissés. Les huit nouvelles rédigées par l’auteur montent en puissance. De la première intitulée « Le coup de la tarte » où la cruauté réside dans l’indicible et le non-dit, jusqu’à la dernière (« Le grand sourire de Printemps ») où cette férocité de la vie heurte de plein fouet un groupe d'en­fants, Eric Gilberh tisse une toile dans laquelle on se sent prisonnier, mais dont on ne souhaite surtout pas s'échapper. Difficile en effet de lâcher le livre après avoir lu quelques phrases. On ne se sen en fait apaisé qu'après en avoir englouti toutes les nouvelles.
Âgé de seulement 27 ans, l'auteur, originaire de Dordogne, possède un talent indéniable qui pourrait lui valoir une reconnaissance rapide, si ce cocktail d'urgence, de folie de détachement, et
parfois de douceur, qui composent son écriture reste intact et aussi explosif.
A ceux qui ne savent pas à quoi s'attendre et
souhaitent aller à l'essentiel du premier recueil d'Eric Gilberh, il sera conseillé de lire la deuxiè­me nouvelle de l'ouvrage «La Fanfare» où enco­re «Affaires de famille», révélatrice des petits
traumatismes que nous avons tous pu connaître. L'avantage de ces «Perce-oreilles» est que l'on s'identifie aux héros... ce qui en fait son charme, mais aussi sa noirceur.

S.C.


CRITIQUE DE "LA MOUETTE LISEUSE"


Les Perce-oreilles
d'Eric Gilberh

 

 

Nous viennent des Éditions L’iroli… toujours un lundi, avec ce qui ne gâche rien, du beau papier à grain, un format souple et pratique, une couverture belle et aérée. Des nouvelles courtes, rapides, denses. Ah ! Oui… Et la chute ! La chute ! La fameuse chute, cauchemar habituel des apprentis écrivains à qui on a bien dit de ménager le suspense et d’intriguer le lecteur avec des rebondissements. Ici, ce n’est plus une hantise du tout… Aucune pesanteur. Entre deux mémoires d’enfants, Éric Gilberh, auteur de ce recueil à 27 ans, écrit parfois « pour rien ». Comme font les enfants qui jouent dans le but de jouer, c’est tout ! Il écrit par plaisir, comme il respire, pour se souvenir… de nous, enfants. De petits textes sans message, alors ? Non, plutôt des messages à prendre comme ils viennent, avec deux mômes qui écoutent les adultes aux portes. Et eux, les adultes, ne s’en doutent pas…

À lire au lit, à table, au bistro, à l’école, à lire à voix haute, entre copains, à lire quoi…

 
                                                                                                                                                                          La Mouette liseuse

www.lamouetteliseuse.com

 
INTERVIEW


Une interview est parue sur le site du mague.
Rubrique E-terview.
Lien direct : ICI

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